(j'me demande si le pire, c'est que ce soit vraiment comme ça, ou le fait que la jambe du gondolier soit en train de s'envoler... Bwef)

Donc. Ouais, je suis allée à Venise. Pendant une semaine. Avec mes grands-parents. À faire des ballades toutes les deux heures. (eh ! C'est chi*nt quand t'es en train de battre un boss sur Majora's Mask, alors que tu sais parfaitement que tu pourras pas le refaire, sous peine de te faire éclater par les petits monstres un peu partout qui veulent ta peau ! /et que tu fuis comme un lâche dès que tu vois ces petits fourbes/)

Bwef. J'ai fait pas mal de musées dont je ne me souviens même plus du nom (y'en avait un où je suis sûre que le peintre a demandé à une enfant de cinq ans de lui dessiner tous ses tableaux, vraiment -_-), j'ai marché dans des rues (Naaaaaaan, sans blague ?) après avoir remonté le temps pour la cinquantième fois (vous saviez qu'il y a un sac de 100 joyaux caché, que si vous mettez l'argent à la banque, il reste malgré le fait que vous utilisiez le chant du temps ?).

Sinon... J'ai acheté des masques. Beaucoup de masques. Énormémeeeeent de masques. Quatre, en fait. Ils sont sympa, mais mon arrière-génitrice (ce groupe de mots n'existe pas, je crois... Enfin, c'est pas français) a décidé que je devais me promener partout avec. Très classe. Ou pas.

Et pis... Et pis c'est tout, quoi. Enfin non. Y'a un truc incroyable qui s'est passé. J'ai bronzé. Oui, c'est possible. Non, je ne suis pas une mort-vivante revenue des enfers et étant passée sous un seau de peinture blanche avant de se faire arroser de farine, puis immunisée aux rayons solaires.

Bwef. Je crois que j'ai tout dit. Et vous, vous avez fait quoi, jusqu'ici ?

Hellow, espèce de lutins rouges machiavéliques !

Si vous avez pensé à lire le titre de cet article, vous saurez de quoi je vais parler. Si vous l'avez pas lu, je vous laisser le faire.

C'est bon ?

Bien. Donc. Est-ce que ce serait une bonne idée que je fasse une chaîne Youtube... Ou pas ?

Ensuite. Si j'en fais une, je parle de quoi ? (la/le première/premier qui me parle de maquillage, je lui éclate les yeux en changeant le thème façon "points-colorés-partout". Et ce sera pas faute de vous avoir prévenus.)

Hellow, bande de lutins crasseux couverts de bave !

J'ai remarqué que tout le monde en faisait donc...

Nan, oubliez cette phrase. Moi ? Faire comme tout le monde ? AH ! AH ! AH !

Hurm. Donc. J'ai décidé de faire une FAQ (NDA : Foire Aux Questions), parce que j'avais envie de voir quel genre de questions vous pouviez me poser dans toute vôtre splendeur et que, bahhh... Ça peut être marrant, quoi.

Bref. Vous me posez des questions ici, je ne vous répond pas par commentaire, mais dans l'article qui y sera dédié !

Magnez-vous, parce que je ferai ce fameux article le 8 août (pour qu'ça fasse 08/08). Z'avez donc un mois pile pour m'envoyer vos questions.

Hellow, lutins à pieds rouges !

Peut-être que les lecteurs parmi vous l'auront remarqué, en tout cas, moi, j'ai cette impression : les nouveaux livres ne sont plus très attirants.

Qué ? Vous trouvez pas ? Mais quels goûts de bave de chat, ma parole !

En fait, je pourrais expliquer ce phénomène par plusieurs points assez simples.

Premièrement, j'ai lu Divergente.

Et, oui, ça m'a dégoûtée assez profondément.

Je sais très bien que d'autres ne partagent pas mon avis, mais en temps que lectrice chevronnée, je le donne quand même : C'est mal écrit. Je voyais la romance au moment même où Quatre a dit qu'il s'appelait Quatre (sans blague, c'est vrai). Personnellement, je me suis arrêtée au tome 1 et, vous savez quoi ? J'ai déjà deviné qu'ils allaient franchir les limites de la ville, où je-sais-plus-quoi. C'était tellement gros que c'en était prévisible.

En un mot : Pourquoi faire trois tomes, quand le lecteur sait déjà ce qu'il va se passer à la fin au bout de cinq lignes ? C'est du gaspillage de papier, moi j'vous dit !

(je pourrais détailler plus dans un autre article, mais ce n'est pas le sujet initial)

Deuxièmement, j'ai remarqué un phénomène là aussi prévisible.

Les gens de maintenant sont tellement obnubilés par l'argent qu'ils ne prennent pas le temps d'écrire leur livre.

Comment ça, vous comprenez pas ?

Ce qui veut dire que vous ne le voyez pas...

Les nouveaux livres ne sortent pas de la tête de leurs écrivains, mais de personnes bien plus vieilles qu'eux !

Si vous n'avez toujours pas compris ce que j'essayais de vous faire comprendre, alors allons-y franchement :

Il y a pas mal de sujets qui ont été exploités depuis qu'on invente des histoires, des fables, des épopées... Vous croyez vraiment que les petits nouveaux, pourtant deux fois plus âgés que moi, vont se casser les fesses à essayer d'en créer un eux-même ?

Ben non. C'est beaucoup trop dur pour eux.

Restons avec Divergente, parce qu'il faut bien un bouc émissaire dans l'assemblée.

Maintenant, comparons avec Hunger Games. Go !

1. Les gens sont répartis en plusieurs "classes" (les districts pour HG et les machins façon "Altruistes and cie" pour D)

2. Tiens, c'est rigolo, les "classes" des deux héroïnes se font atomiser toutes les deux. Marrant, n'est-il pas ?

3. J'ai une certaines impression que les deux héroïnes vont finir chefs de leurs sortes de rébellions contre, ô surprise, un état beaucoup plus riche qu'eux qui tire les ficelles dans l'ombre, depuis plus ou moins longtemps.

4. Tiens, la famille entière des deux héroïnes se fait défoncer, la plupart du temps quand elles sont pas très loin !

5. Waw ! Une ville souterraine cachée pour les audacieux et... Une ville souterraine cachée pour le district 13. C'est aussi assez marrant, parce que c'est de ces deux classes que vont commencer les rébellions...

Toujours en sachant que Hunger Games n'a pas été publié tant de temps avant Divergente. C'est assez gros, tout de même.

Bwef. J'arrête d'incendier Divergente, en espérant vous avoir fait passer le message suivant :

L'imagination n'existe plus chez les écrivains, ou quoi ? Parce que maintenant, ils sont obligés de piocher dans celle des autres, et je peux vous dire qu'ils en prennent à grosses louches !

Vwalà. C'était mon petit mot pour finir juin en beauté. Bwef.