• Oui, je dessine beaucoup, en ce moment... u.u

    Je m'ennuyait dans ma chambre alors que je passais en revue tout ce que je pouvais faire, sans rien trouver de concluant, quand je L'ai vue. Ma gentille petite mignonne et libératrice tablette graphique.

    Bref. J'm'ennuyait et j'ai pondu ça. C'est un peu glauque, mais tant pis. En dessous, z'avez le même truc, mais façon marque-page. (comme quoi, j'avais vraiment que ça à fo*tre)

    Oui, je dessine beaucoup, en ce moment... u.u


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  • J'dessine, môah !J'dessine, môah !

     

    Premier fait en cours de maths, deuxième quand j'essayais d'apprendre à ma soeur quelques histoires de proportion...


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  • Sheep-Woman

    (Nan, j'ai rien avec les moutons. C'était juste pour un projet d'anglais, à la base, et à cause d'un délire rempli de nyan-cat et d'arcs-en-ciels péteurs de paillettes)


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  • Je sais que je vais me faire griller en postant ça, mais je m'en fiche royalement. J'voulais faire quelque chose de symbolique pour ton anniversaire et j'ai trouvé que ça comme solution.

    Je sais pas super bien dessiner.

    Je suis pas si bonne que ça en graphisme.

    Mais je sais écrire, c'est donc une longue suite de mots qui t'attends !

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    Titania était en pleine discussion avec Mélanie –une discussion  remplie de guirlandes et de bonbons à la rose, quand une furie brune entra dans la salle des fêtes en défonçant presque la lourde porte en acajou.

    « Où est passé cette tête de broa ?! Hurla-t-elle, hystérique.

    - De qui tu parles, Eliza, demanda la passeresse de la Terre en fronçant les sourcils.

    - Mais de ce bisux de Thomas, bien sûr !

    - Qu’est-ce que le général en chef de mon armée a encore fait ? »

    La voix de la demi-fée était chargée d’inquiétude. Le royaume était forcément en danger, si le jeune Ducker avait fait une conner… Une bêtise. Il avait un don immuable pour  se créer des ennuis. C’était limite si elle ne s’étonnerait pas de savoir qu’il s’était étouffé avec sa salive. Il en était largement capable. Eliza Dunkerque, jeune passeresse de l’air et sa sœur adoptive qu’elle avait retrouvée depuis peu, se calma un chouïa puis répondit :

    « Cet idiot a retiré la barrière de protection du palais, sous prétexte qu’elle empêchait apparemment les arbres de recevoir toute la lumière dont ils auraient besoin. Au final, il s’est fait tomber le levier qu’il avait réussi à casser sur le pied et maintenant, il courre dans les couloirs en hurlant à la mort.

    - Pardon ?! Éructa Titania. Je n’ai pas soufflé le trésor royal afin d’acheter cette fichue barrière pour rien ! (elle se retourna vers deux gardes, qui commençaient à avoir des sueurs froides en sentant le regard bleu glacier de la jeune femme sur eux) Retrouvez-moi cet abruti, et que ça saute ! N’hésitez pas à viser les orteils pour l’arrêter, je le veux devant moi ! »

    Ils s’exécutèrent dans un salut militaire désordonné, avant de tourner les talons en courant et en criant aux autres membres de l’armée de retrouver le général en chef de l’armée de la Terre. Ils furent aussitôt suivis d’Eliza, qui avait une certaine envie de meurtre envers son ancien camarade scolaire. Quand il avait désactivé la barrière de protection et qu’il s’était pris son levier sur les orteils, il avait sauté sur la jeune femme dans un couinement particulièrement héroïque, avant de s’en aller en n’hésitant pas à lui marcher dessus. Il allait payer pour cet affront.

    La jeune femme, ne faisant pas attention plus que ça à l’architecture du palais, qui était quand même assez époustouflante, avec ses arbres centenaires au bois blanc qui semblaient constituer certains murs, s’arrêta devant un couple de sortmaîtrises, qui semblaient assez surpris de voir la plus grande passeresse de l’Histoire les aborder. Prenant deux bouts de sa robe entre ses doigts et se lâchant les mains, la femme et le mari allaient s’incliner quand ladite passeresse les arrêta d’un geste et leur demanda, d’une voix chargée de colère qui suffit à les faire pâlir et se promettre de ne plus jamais entrer dans ce palais, où était, je cite « Ce fichu général en chef Ducker de mes deux ! ». Ils lui répondirent qu’effectivement, ils avaient vu le sortmaîtrise du feu sautiller dans un couloir en se tenant un pied à peine deux minutes plus tôt. Aussitôt, la jeune femme parti dans la fameuse direction.

    Elle déboucha sur une grande salle qui, comme toutes les autres, semblait constituée de majestueux arbres blancs. Un olivier semblant avoir vécu des millénaires, à en juger par la taille, se dressait fièrement au centre de la pièce, les racines trempant dans une fontaine où se tenaient fièrement, les mains pointées vers le ciel, les statues des différents dirigeants du royaume. À côté d’une de ces statues, une silhouette était assise, se massant le pied en grommelant milles injures et noms d’oiseaux. Eliza eut un sourire malicieux et s’en approcha. Dès qu’il la vit, Thomas retint son souffle et regarda autour de lui, surement à la recherche d’une issue. Il se souvenait encore de la fois où, en cours de défense magique, elle avait involontairement déclenché un cyclone dans la salle de classe. Les colères de la jeune passeresse n’étaient jamais très agréables quand on en était la cible…

    Les mains de celle qui maîtrisait le vent s’illuminèrent et il faillit faire une crise d’apoplexie. L’air semblait s’échapper de la salle pour se regrouper autour d’elle, si bien que certains courtisans tombèrent dans les pommes. Dans un mouvement rageur, elle fit glisser ses mains devant elle et la tornade s’approcha en rugissant du jeune homme.

    Les vents l’entourèrent, jusqu'à faire une prison dont il ne pourrait pas sortir.

    Quand elle revint dans la salle des fêtes, avec le casse-cou qu’elle trainait par les chevilles qui semblaient légèrement gonflées, elle ne put retenir un petit cri de surprise en voyant ce qui l’y attendait.

    « Joyeux anniversaire Eliza, criait en cœur la salle entière. »

    Et à ce moment-là, elle comprit que le jeune Ducker n’avait été qu’une diversion pour leur permettre de gagner du temps afin de finir de décorer la salle.

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    Vwalà. Et pour les nostalgiques d'Eliza Dunkerque, je vous retire vos faux espoirs. Vous avez devant vous mon dernier travail en tant que Miss Air.


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